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30.07.2006

De Nasca a Puquio, du 18/07 au 28/07

Nous partons de Nasca et entamons la fameuse ascension, apres 3 jours de repos. Les enfants ont fait la greve et ne voulaient pas bouger avant.

Un peu anxieux, nous atteignons le mines d or en esperant pouvoir remplir nos bouteilles vides. La dame du bar-cahute accepte de nous offrir 7 litres mais pas plus. Avec nos reserves nous devons tenir 3 jours. Nous arretons une voiture qui nous deposera nos bouteilles au kilometre 28.

La pente est reguliere, 5.5 %, comme promis et notre rhytme lent comme prevu. Nous remontons une vallee aride aux roches rouges parsemees de cactus. Nous sommes tres etonnes de la facilite avec laquelle nous gravissons ces enormes montagnes. C est genial, on ne souffre pas trop, les enfants sont joyeux, on se raconte des blagues et on se posent des devinettes !!!

Et puis, on se fait offrir de l eau par les automobilistes qui s arretent volontiers, ce qui nous offre le luxe d une petite toilette le soir au bivouac au coin du feu. Antoine est un vrai Robin des bois et trouve du bois la ou il n y en a pas.

Nous trouvons l eau tant attendue au km 28. Quel bonheur ? On s arrete pour chanter, pour boire, pour manger...On se prepare meme pour une partie de Yams. MAis ou est donc la banane ceinture d Antoine ? Angoisse, horreur !!! Elle est au Km 19, bivouac de la veille. Ca ne parait pas loin, mais quand ca monte tres fort, pas question que tout le monde redescende. Antoine decharche son velo et redescend a vide pendant que nous l attendons sur le bord de la route. Il se fait remonter par un camion, et nous apercevons vite son sourire radieux. Belle frayeur !

Est-ce l episode de la banane, l eau de la dame ou la bouffe qui rendront Isa malade. En tout cas, la journee suivante pour arriver a Huallhua aura ete tres laborieuse. Antoine se charge comme un mulet pour alleger le tandem d Isa qui n arrivera meme pas a porter les enfants qui devront parcourir les derniers kilometres a pied.

3 ou 4 maisons de pierres et de tole, et une jolie ecole composent Huallhua. NOus sommes acueillis par 3 personnes qui nous proposent de planter la tente dans la cours de l ecole. La jeune femme decoince le dos et les epaules d Isa par un massage ferme et efficace.

Nous sommes colles par tous les enfants du village : 2 petits garcons sales mais charmants et 2 fillettes un peu curieuse. Omar et Daniel nous conduisent a la source pour faire le plein d eau. Une source, de l eau en abondance, c est la vie , le bonheur. On se douche, on en profite et on comprend mieux pourquoi la vie est possible dans ce  village perdu en plein milieu du desert.

Au soir du deuxieme jour de la montee, nous avons franchi un premier massif et la montagne se couvre d un duvet d herbe rousse. Face a nous, le sommet du Sierro Blanco, dune de sable qui culmine a 2300 metres.

Nous montons tranquillement au hameau suivant, Villa Tombo, 8 maisons dont 2 restos et un vendeur de pneus. La patronne du restaurant "El Caminante", Yanina, nous propose genereusement de "poser" la tente sur les cailloux de son jardin au milieu des poules, des chats et des chiens qui aboient. Nous acceptons cette proposition, tres volontiers. Nous avons bati plein de souvenirs heureux ic : les enfants jouent a 1-2-3 soleil avec Brenda (11 ans) et Pamela (8 ans) quand elles peuvent se liberer du travail et nous passons une soiree memorable a danser et a chanter sur de la musique peruvienne en compagnie de Yanina, sa soeur, ses filles, deux hommes et une grand-mere du village.

La cantine nous requinque, mais au Perou, rien a faire la bouffe c est pas leur fort. Le menu est tres regulier : caldo de gallina (soupe aux pates, patates, ble aux pattes de poule), arroz con pollo, arroz con lomo, arroz chauffa, arroz a la cubana (ils rajoutent une banane cuite). Les enfants font grise mine.

Nous repartons, non sans peine, de ce village sympa. Les enfants sont tristes de quitter leurs nouvelles copines !

Le systeme d approvisionnement d eau par les camions fonctionne a merveille et nous trouvons toujours nos bouteilles aux kilometres convenus. Faut dire que les gens nous prennent un peu pour des fous d emmener des enfants en montagne et ne nous refusent pas le service.

La route monte toujours mais moins raide et nous atteindrons le col en moins de temps de prevu. Un superbe bivouac au lieu de 2. Avec l altitude, la temperature biasse la nuit et la condensation gele dans la tente, il faut imperativement etre dans les duvets les heures de nuit.

L arrivee au col est un grand moment de bonheur. Le premier test est reussi. Les enfants sont des champions. La suite semble possible. On pensait en baver davantage,nous sommes surpris, mais on ne va pas se plaindre ! Comme quoi, la preparation psycologique est determinante.

Au col, 3 maisons, plusieurs enfants qui attendent le passage des voitures et des camions pour l animation, des hommes qui nous demandent le prix de nos velos. Maintenant, on sait quoi repondre : cadeau de mariage ! Avec ca, ils n insistent pas. Dans le restaurant, une petite fille qui ne marche pas encore passe ses journees dans une bassine a meme le sol en terre battue, entouree de peaux de mouton pour ne pas geler. Nos enfants ne reagissent pas. Peut-etre plus tard ou pas du tout d ailleurs.

Nous redescendons de quelques kilometres a la reserve de Pampa Galeras et nous apercevons les premieres vigognes (petits lamas). Nous passons la nuit au QG des gardes dans une chambre bien chauffee a 3 degres. On ne gelera pas cette nuit !

Nous fleurtons encore un moment avec les vigognes avant de passer le deuxieme col, a 4390 metres. Nous rencontrons une famille francaise au volant d une vieillle et belle bagnole. Ils laissent leur voiture sur le continent Sud Americain et la retrouve l ete pour vadrouiller 2 mois. Ca fait du bien de parler francais avec des adultes ! La descente nous fait decouvrir une toute autre vallee : eucalyptus, agriculture et cours d eau. Y meme des gens un peu partout ! Quel changement de paysage !

Une journne de repos a Lucanas pour assister aux brochettes de taureaux (corrida) et nous voici a Puquio, petite ville aux rues defoncees au milieu des montagnes pour quelques jours de repos et pour soigner Felicie. Nous en profitons pour nous laver a grande eau a l hotel qui fourni de l eau tiede de 9h10 a 9h15.

Hasta Luego

 

19:40 Publié dans carnet de bord | Lien permanent | Commentaires (2) | Envoyer cette note

Dimanche 29 juillet, Felicie

Tout en haut de la montagne, nous avons vu beaucoup de vigognes: Ce sont des petits lamas. Le poil des vigognes est doux. Il est marron, beige et blanc. Avec, on fabrique des habits.

Apres, nous avons fait une grande descente et nous sommes alles tres vite.

A Lucanas, nous sommes allles voir une corrida avec des taureaux. Je nai pas aime voir les taureaux se faire tuer.

FELICIE

19:05 Publié dans textes des enfants | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note

PUQUIO, dimanche 29 juillet

Je suis alle voir un musee a la maison des gardes de la reserve des vigognes. C etait a 4300 metres d altitude.

Dans le musee, il y avait un condor, des flamants roses, un puma, un putois, un alpaga, un lama et plein d oiseaux predateurs.

Ensuite, nous sommes descendus a Lucanas. Nous avons assiste a une corrida dans une arene. Maman et Felicie sont reparties plus tot car elles avaient peur quand les toreros tuaient les taureaux. Plus les toreros enfoncent les pointes, plus le taureau s enerve car il souffre.

GABRIEL

18:55 Publié dans textes des enfants | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note

19.07.2006

petit bilan apres 15 jours

Adele aime bien les gens, leur bonte, leur gentillesse mais n aime voir des gens pauvres, les maisons completement defoncees, les chiens et voir les enfants travailler.

Gabriel n aime pas faire du velo mais aime bien les banannes et le jus de mandarine.

Felicie aime etre a l hotel mais n aime pas qu il y ait des chiens partout et que tout le monde la regarde.

Isa aime la vie grouillante, le bordel dans les rues, l accueil des gens, etre en vadrouille, faire les courses et les toyotas pourries qui ressemblent a la notre mais n aime pas l odeur d urine omnipresente dans les rues des villes et villages, quand on se fait arnaquer et quand Felicie pedale a l envers dans les cotes.

Antoine adore le Ceviche, les jus de fruits, la simplicite de la vie, traverser le desert a velo mais n aime pas se faire aborder par les rabbateurs qui prennent les touristes pour des imbeciles, voir la roue du petit velo voilee et quand les peruviens nous demandent le prix des velos.

02:30 Publié dans carnet de bord | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note

17.07.2006

nous ecrire par e mail

envoyez nous vos messages par mail a : isabellechalle@hotmail.com

17:50 Publié dans nous ecrire | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note

16.07.2006

Les lignes de Nazca

J ai dessine les lignes de Nazca : un singe, un arbre, une araignee, des traits, un chien.

Elles sont dessinees dans le sable dans le desert.

On a regarde la main du haut dun mirador. 

Felicie 

22:55 Publié dans textes des enfants | Lien permanent | Commentaires (5) | Envoyer cette note

15.07.2006

De Ica a Nazca, du 12/07 au 15/07

Nous sortons d Ica et traversons une vallee verdoyante et agricole relativement plate. C est agreable, nous avancons rapidement. Nous nous renseignons pour un resto dans le mini village a la jonction d Occucaje et nous atterissons dans une toute petite construction de 6 metre carre pas plus, meublee de 2 tables et 3 chaises en plastique. Meme en ne commandant que 3 menus pour nous 5, nous ne parvenons pas a tout manger : soupe a la patate et aux pates puis plat de poulet, patates, riz et feves. Nous avons notre compte de feculent et cette ration nous tiendra jusqu au lendemain matin.

Entre temps, fini la verdure , nous retrouvons le desert, chaud, sec et tres venteux. C est difficile, on a l impression que plus jamais on n en sortira. La route est droite, rectiligne, sans virage, ni courbe, le temps est brumeux et bouche toute perspective. Heureusement que circulent vus et camions pour nous encourager au passage.

Nous plantons la tente derriere une dune pares 50 kilometre de pedalage. Il se met a faire froid, tres froid meme alors nous aprecions pleinement les performances de notre tente et nous partons pour 11 heures de nuit. 

Puis, c est reparti pour quelques lignes droites de desert. Nous prevoyons d arriver le soir a Palpa, petit oasis non loin du Rio Grande mais nous sommes arretes a Santa Cruz par Corry et sa famille. Nous sommes invites a manger et a dormir. 

Toute la famille nous emmene en convoi avec l ane bate a la cite perdue. Nous chantons ensemble les hymnes nationaux de nos pays. Le prix d entree est negocie : 10 soles au lieu de 90 ! Ca c est de la reduc ! Nous rentrons a la nuit tombee et dormons tous dans la chambre de Corry. 2 dans chaque lit et 3 par terre.

Le lendemain, nos hotes ont bien du mal a nous laisser repartir. Nous croulons sous les cadeaux dont  nous serons obliges de nous delester quelques kilometres plus tard. Il nous faut aussi prendre plusieurs photos d adieu. Le sfilles serrrent les enfants dans leurs bras, les touchent, les tripotent et Felicie et victime de ses yeux bleus fonces. Vite, vite, nous devons partir.

La route vers Palpa n est plus aussi plate, nous passons le premier col et jouissons aussi de notre premiere grande descente. Du pur bonheur !

Au sommet d une cote nous sommes arretes pour etre interviewes et pris en photos par le redacteur en personne, du premier hebdomadaire peruvien, El Commercio. Nous sommes tres fiers.

Nous aimons beaucoup ce petit village de Palpa. L ambiance est gaie et joyeuse, les gens sont accueillants meme si la douche de l hotel est froide et que les chambres sont  d une proprete douteuse. Nous mangeons dans la rue, installes au stand d une cuisiniere ambulante, le meilleur plat depuis notre arrivee. Et bien sur le prix est derisoire.

En fait, ca coute moins cher de manger dehors dans la rue (a condition d eviter les restos a touristes) que de faire les courses au supermarche et de cuisiner nous-meme.

Nous visitons le mini-musee, dans lequel les gens viennent aussi y prendre des cours de sante d hygiene et de sante publique. Des regles de base simples qui nous paraissent evidentes, a nous europeens. 

23:05 Publié dans carnet de bord | Lien permanent | Commentaires (1) | Envoyer cette note

13.07.2006

Chez Said

Nous avons dormi chez Said.

Il y avait des poussins, des chevres, des cochons et des lapins.

J ai pris un poussin dans mes mains.

La maison etait petite, nous avons joue a la poupee.

Felicie 

22:50 Publié dans textes des enfants | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note

12.07.2006

De Pisco a Ica en passant par Paracas

Du jeudi 6/07 au mardi 11/07

 

Cela fait une semaine que nous avons quitte la Normandie et c est un autre grand depart.

Carlos nous emmene en taxi au terminal de bus, negocie les prix et nous voila partis. Le bus nous depose sur la Panamericaine a San Clemente et nous preparons en hate les teandems sous les regards des curieux.  Une seconde d inattention et deja une des saccoches disparaissait dans les mains d un petit peruvien. Les enfants ne cessent de nous  demander le prix des velos, on fait semblant de ne pas comprendre ne sachant comment reagir. C est tres genant de voir tous ces gamins trainer au bord de l autoroute, et nous nous sommes la avec nos 3500 euros de velos. Antoine est concentre comme jamais pour revisser les pedales dans le bon sens.

Nous degageons rapidement vers Paracas en savourant bien ces premiers coups de pedale. Nous arrivons a la tombee de la nuit et nous nous arretons dans le premier hotel venu apres avoir longe la cote desertique bordee d interminables usines de poissons, vent dans le nez.

Un petit tour en bateau pour aller voir els lions de mer, pingoins, nombreux oiseaux et dauphins, un memorable "Ceviche" pour Antoine et un delicieux bain de mer dans le Pacifique, avant de senfoncer dans le desert pour Ica.

De temps a autre quelques puits, quelques fermettes et un peu de verdure. Nous demandons l hospitalite a Angel et Isabel. Ils nous accueillent dans leur hutte, plus que sommaire, et nous plantons la tente dans le living-room with no door en tere battue. Au petit matin, 5h45, Angel nous reveille au son de sa guitare.

Nous repartons avec une morsure de chien non-enrage sur la cuisse d Antoine, pour une autre partie de desert et arrivons juste a temps, dans le piege a touriste de Huacachina pres d Ica, pour assister  au coup de boule Zidane.

Nous nous reposons une journee de plus que prevu pour soigner les maux de ventre des uns et des autres, et pour trouver de l anti-gusanos pour Adele. Ca tombe bien une famille francaise tres sympa avec enfant vient d arriver et les enfants nous decollent un peu pendant que l on partage de la biere. On en profitera pour leur demander de nous ramener du materiel superflu. 

22:50 Publié dans carnet de bord | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note

10.07.2006

Huacachina

Ma soeur et moi, nous sommes alles dans les dunes de sable. Il y avait des gens qui faisaient du surf.

Du haut de la dune, nous avons vu une ville. Pour redescendre, nous avons glisse sur le sable.

Sur le chemin, j ai ramasse une canne qui nous servira a eloigner les chiens.

GABRIEL

23:50 Publié dans textes des enfants | Lien permanent | Commentaires (6) | Envoyer cette note

09.07.2006

Je suis au Perou

Salut les copains,

Dpuis que l on est parti tout va bien.

Aujourd hui, nous avons fait 45 kilometres de velo. Ca valait le coup. Vous savez pourquoi ? Non ? Et bien voila !

Quand nous arrivons a notre hotel, nous regardons la fin de la coupe du monde.

On se baigne dans la piscine (glacee) et on demande a papa : Qui a gagne ? L Italie !!! Nous sommes decus. On goute en apprenant a jouer a la patience. Puis, je vais dans les dunes avec Gabriel, elles sont super hautes. Felicie a essaye de nous rejoindre mais elle a abandonne ! On a donne le meilleur de nous meme pour arriver en haut. Nous avons ete recompense par : une vue magnifique, la lune, des cheveux et des vagues faits par le sable qui court, et un barbecue.

J ai ressenti beaucoup d emotions depuis le debut du voyage :

- J avais l impression que l on ne partirait jamais.

- J ai l impression aue ce n est au un voyage d un moi.

- Je me suis sentie perdue au debut car tout est tres different de chez nous et on entend de l espagol partout.

- J aime tout ce que je vois et ce que je mange.

- Je pense beaucoup a tous ceux que j aime.

Gros bisous a tous et a plus pour d autres nouvelles

ADELE

PS : Pour les peruviens, c est l hiver et ils portent des doudounes pourtant pour nous il fait chaud !

18:00 Publié dans textes des enfants | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note

07.07.2006

Lima - Perou - Arrivee le 30/06/06

Quand on parlait de Lima depuis Caen, on ne devait y rester que 2 ou 3 jours pour aller se reposer a Pisco.

C etait sans compter sur la rencontre avec Juan, Carlos et Lourdes. Finalement nous sommes restes 6 jours et nous avons cotoye Lima sous differentes facettes. On a presque fini par l aimer cette ville. Malgre le bruit, les dangers pour lesquelles elle est reconnue, le bordel permanent..., on ne peut rester indifferent a ces maisons multicolores aux facades carrelees et soignees, aux constructions improbables des quartiers pauvres sur les montagnes de cailloux, aux vendeurs de tout et de rien a chaque metre de rue (pots d echappement, tranches de canne a sucre, calculettes, pinceaux, essuie-glaces, jouets pour enfants, cartes du continent, bonnets, cartes de telephone, cacahouettes,...) sans parler du manege incessant des transports en commun qui se suivent et se ressemblent dans lesquels un type hurle tant qu il peut des destinations pour inciter les gens a grimper.

 "In Lima, you trust no-one". Juan nous met tout de suite dans le bain. On pourrait denombrer autant de flics que de taxis, les maisons sont encagees par des grilles de fer et ceinturees de cables electrifies. Ambiance tres decontractee !!!

Nos amis essaient de nous retenir encore quelques jours pour feter l anniversaire de Lourdes mais il est temps que l on parte et que l on commence ce pourquoi nous sommes venus : un voyage a velo.

Nous remontons donc nos montures dans la chambre de l hotel et Antoine s attele a reparer les degats occasionnes par le voyage dans les soutes : la roue du petit velo est voilee, un porte-bagages est casse, une fourche est tordue. 

 

 

22:25 Publié dans carnet de bord | Lien permanent | Commentaires (2) | Envoyer cette note

01.07.2006

merci a tous!!

Un voyage peut s'envisager sans sponsor mais pas sans l'aide des amis et de la famille.

Un grand merci a tous ceux qui, dans le desordre :
Ont cloue de la frisette, repeint des murs, donne des conseils, nous ont fait a manger, ont soude, ont fabrique des porte-bagages, nous ont heberges et supportes, nous ont garde les enfants, nous ont soutenus dans notre projet, ont essaye de nous comprendre, ont repare l'electricite de la maison, ont abattu les arbres dans le jardin, lessive les murs, repeint les fenetres au dernier moment, ont assure notre avenir professionnel, nous ont offert des cadeaux,  du credit telephonique, ou donne un coup de pouce, cousu des poches de surete a nos pantalons, nous ont permis d'acheter des vetements a des prix defiants toute concurrence, ... et a tous ceux qui sont venus meme de loin nous faire une grosse bise pour nous dire au revoir. 

Isabelle Antoine et les enfants

 

04:35 Publié dans Merci | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note